6:30 pm, lumière. and then suddenly we found out that we have made it to at certain point on this road that it simply calls out for an extraordinary amount of observation to understand all those past races.those unexpected and unreasonable states of motion.--


6:30 pm, lumière.


and then suddenly we found out that we have made it to at certain point on this road that it simply calls out for an extraordinary amount of observation to understand all those past races.

those unexpected and unreasonable states of motion.

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El lenguaje no es la verdad. Es nuestra forma de existir en el universo. — Paul Auster

El lenguaje no es la verdad. Es nuestra forma de existir en el universo.

— Paul Auster

Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !J’entends déjà tomber avec des chocs funèbresLe bois retentissant sur le pavé des cours.Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère,Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,Et, comme le soleil dans son enfer polaire,Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé.J’écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;L’échafaud qu’on bâtit n’a pas d’écho plus sourd.Mon esprit est pareil à la tour qui succombeSous les coups du bélier infatigable et lourd.Il me semble, bercé par ce choc monotone,Qu’on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.Pour qui ? – C’était hier l’été ; voici l’automne !Ce bruit mystérieux sonne comme un départ. — Chant d’automne, Charles Baudelaire


Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;

Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !

J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres

Le bois retentissant sur le pavé des cours.

Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère,

Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,

Et, comme le soleil dans son enfer polaire,

Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé.

J’écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;

L’échafaud qu’on bâtit n’a pas d’écho plus sourd.

Mon esprit est pareil à la tour qui succombe

Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

Il me semble, bercé par ce choc monotone,

Qu’on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.

Pour qui ? – C’était hier l’été ; voici l’automne !

Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

— Chant d’automne, Charles Baudelaire

An ode to all of those unnoticed moments around our life, all of those imperceptible steps leading our paths.To learn from introspection. To find motion from inside.--


An ode to all of those unnoticed moments around our life, all of those imperceptible steps leading our paths.

To learn from introspection. To find motion from inside.

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Votre âme est un paysage choisi
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.

Tout en chantant sur le mode mineur
L'amour vainqueur et la vie opportune
Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,

Au calme clair de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d'extase les jets d'eau,
Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.

— Paul Verlaine

this past weekend -away from social life,reading and writing as the perfect combo, a travel to internal seas.decrypting some layers,a segregation of thoughts.--


this past weekend -

away from social life,

reading and writing as the perfect combo, a travel to internal seas.

decrypting some layers,

a segregation of thoughts.

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